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12 avril 2017 3 12 /04 /avril /2017 07:30

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 15:49

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 13:09
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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 12:48

Gilbert-collard.jpg

ARTICLE UNIQUE

Il est ajouté à la Constitution un article 6-1 ainsi rédigé :

« Article 6-1 :

Un référendum peut être organisé soit à l’initiative d’un cinquième des membres du Parlement soutenue par un dixième des électeurs inscrits sur les listes électorales, soit à l’initiative d’un cinquième des électeurs inscrits sur les listes électorales, en vue de mettre un terme au mandat du Président de la république actuellement en fonction.

Lorsque le referendum révocatoire prévu à l’alinéa 1er a conclu à la cessation du mandat du Président de la République, le Conseil Constitutionnel déclare la vacance de la Présidence de la République dans les conditions prévues par l’article 7 de la Constitution.

Le Président de la République déchu de ses fonctions en vertu de la consultation référendaire révocatoire prévue à l’alinéa 1er du présent article est immédiatement rééligible ; nonobstant la limitation du nombre des mandats consécutifs prévue par l’article 6 alinéa 2 de la Constitution.

Les conditions dans lesquelles le Conseil Constitutionnel contrôle le respect des dispositions des alinéas précédents sont déterminées par une loi organique. »

Exposé des motifs

La présente proposition ne fait que transposer en droit français la procédure du referendum révocatoire (« recall ») prévue par les Constitutions de six cantons helvétiques, d’une province canadienne, de dix huit Etats américains et du Venezuela.

Une telle possibilité, résultant d’une initiative populaire, peut en théorie viser tout élu du suffrage universel ; puisqu’elle en est le symétrique. Aux Etats Unis, ce parallélisme est d’ailleurs total ; puisque le recall peut viser aussi bien un gouverneur qu’un sénateur ou un juge élu.

La présente proposition constitutionnelle n’est donc que le corollaire logique de la révision constitutionnelle du 6 novembre 1962 instituant l’élection du Chef de l’Etat au suffrage universel direct.

L’historique de telles initiatives montre que la pétition trouve sa source dans deux motifs distincts : soit l’élu fait montre d’incompétence, soit il opte des politiques qui vont à l’encontre de son programme électoral.

Il s’agit donc ici d’une procédure totalement différente de celle de « l’impeachment » ; lequel empêchement définitif peut déjà être prononcé par le Conseil constitutionnel dans le cadre de l’article 7 de notre Constitution.

Il est à noter que la présente proposition de référendum révocatoire n’exclut aucunement la candidature nouvelle du Président de la République sortant : le suffrage universel doit pouvoir conserver la totalité de son libre arbitre. L’exemple du Wisconsin en 2012, avec la réélection du gouverneur révoqué, prouve qu’un tel cas de figure n’est pas purement virtuel.

Source : http://www.frontnational.com/2013/04/proposition-de-loi-constitutionnelle-organisant-le-referendum-revocatoire-du-president-de-la-republique/

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 18:02

AMENDEMENT No 374
présenté par
Mme Maréchal-Le Pen et M. Collard

—————————————

Monsieur Le Président,

Mon amendement vous surprendra sans doute.

En effet, nous souhaitons que soit mis à l’étude le rétablissement de la TIPP flottante, mécanisme créé en 2000 par le gouvernement Jospin, et supprimé un peu rapidement en 2002.

Nous souhaiterions donc que l’impact du rétablissement de ce mécanisme soit présenté au Parlement au vue d’une discussion afférente à la loi des finances 2013.

D’ailleurs, l’initiative de cette résurgence a appartenu comme vous le savez au candidat François Hollande qui l’a évoquée le 15 mars 2012 par l’intermédiaire de son porte-parole sur les questions économiques, Monsieur Michel Sapin.

Une telle mesure vise à amortir l’impact des variations du prix du brut, variations amplifiées par le levier de la TVA.

De nombreux professionnels, routiers, taxis, artisans appellent de leurs vœux cette modulation de la TIPP rebaptisée d’ailleurs TICPE depuis 2011.

Un tel retour à la stabilité des prix à la pompe est indispensable à la gestion prévisionnelle des usagers des véhicules utilitaires.

Vous pourriez certes m’opposer le phénomène d’érosion des recettes fiscales en cas de hausse continue des prix du brut. Mais tel n’est plus nécessairement le cas désormais.

Le lissage du prix des produits énergétiques pourrait donc, à l’horizon 2013, être partagé entre l’Etat, les consommateurs finaux et les sociétés pétrolières.
Voici brièvement exposé le sens de notre amendement.

Réfléchissons sereinement à une formule abandonnée en 2002, et relancée en 2012 par le programme même du candidat élu.

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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 09:58

ASSEMBLÉE NATIONALE
12 juillet 2012
LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2012 – (N° 71)
Commission
Gouvernement
AMENDEMENT No 376
présenté par
Mme Maréchal-Le Pen et M. Collard

—————————————————-

ARTICLE 29
Rédiger ainsi cet article :
« Le chapitre Ier du titre V du livre II du code de l’action sociale et des familles est abrogé. »

EXPOSÉ SOMMAIRE
L’AME est un dispositif hautement symbolique qu’il convient de supprimer. Il offre la gratuité totale de soins sous simple condition de ressources et après 3 mois de résidence à des étrangers en
situation irrégulière, à la charge des finances publiques.

Cette rupture du principe d’égalité républicaine au détriment des nationaux et des étrangers en situation régulière est un appel d’air à l’immigration clandestine, alimentant notamment les réseaux
mafieux qui rackettent les candidats à l’exil tout en laissant à la collectivité nationale un coût d’environ 600 millions d’€ en année pleine.

L’immigration sanitaire, dont on sait qu’elle est une des plus dynamiques composantes de l’immigration vers notre territoire, ne doit pas se trouver ainsi encouragée.

Enfin, la proportion alarmante de fraude à nos systèmes de santé, à laquelle l’AME ne déroge pas, rappelle combien les objectifs humanitaires de la loi ont été dévoyés en pratique.

Il est donc demandé la suppression pure et simple du dispositif.

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